Troubles du sommeil
Il existe 2 grandes catégories de troubles du sommeil : l’insomnie et l’hypersomnie.
L’hypersomnie se détache en 2 groupes : l’hypersomnie primaire, et l’hypersomnie secondaire. La première étant la résultante d’une maladie neurologique du sommeil (narcolepsie, hypersomnie idiopathique et syndrome de Klein-Lévin), la seconde étant causée par des pathologie diverses, pouvant amener à une grande fatigue (hépatite, diabète, apnée du sommeil…). L’hypersomnie ne sera pas traitée dans ce dossier.
L’insomnie, quant à elle, se définie par un manque de sommeil, dont la qualité se trouve altérée. Elle peut être transitoire ou chronique. Si elle est transitoire, elle peut être passagère à plus ou moyen terme. Elle est certainement liée à un coup dur dans la vie, un stress passager, et reviendra à la normale progressivement. Elle peut parfois être liée à des surexcitant d’origine externe : sport cardio le soir, caféïne, corticoïdes, lumière bleue informatique…
Lorsqu’elle est chronique, son origine est plus sous-jacente. Elle peut être également due à une épreuve que vous avez à traverser, mais cela veut dire que vous n’arrivez pas à passer le cap de cet évènement, et qu’un accompagnement psychologique est peut être à prévoir. S’il ne s’agit pas d’une expérience négative passagère, il s’agit peut être d’un environnement qui vous pose question, de relations difficiles avec un ou des collègues, un proche de votre sphère familiale, une période de transition professionnelle difficile. Il peut y avoir également une hypervigilance d’un parent vis-à-vis d’un enfant, surtout d’un très jeune enfant. Il est fréquent que la mère soit très connectée à son enfant, et qu’elle se trouve à attendre que bébé se réveille pour la tétée. Maman, elle, se retrouve avec une double ration de sommeil manqué ! En bref, un environnement qui vous préoccupe, qui vous angoisse, et qui met en marche votre « machine à penser ».
Quelle que soit notre position sociale, quel que soit notre quotidien, une insomnie chronique, à plus ou moins long terme, entame notre humeur, notre capacité à gérer les stress avec facilité, les challenges, les obligations quotidiennes, notre relation aux autres… Elle peut être à l’origine de troubles dépressifs, l’inverse étant également possible.
Elle entame notre confort de vie ! Nous ne vivons plus, nous sommes en mode automatique de survie ! Combien de temps est il possible de vivre ainsi ?
Et si vous décidiez que la kinésiologie pouvait vous aider ? En identifiant la ou les problématiques qui vous font cogiter, ce qui peut parfois relever d’un travail de titan, en vous débarrassant du stress émotionnel négatif sur ces causes, vous pourriez très certainement vous retrouver dans les bras de morphée plus vite que vous ne le croyez ! C’est lorsque nous nous sommes délivré d’un comportement négatif et que nous vivons comme nous aurions dû toujours le faire, que nous nous demandons « comment ai-je fait pour supporter cette situation jusqu’ici ? ». Nous ne reviendrions pour rien au monde en arrière… Alors, c’est à vous !