Épuisement cérébral
L’épuisement cérébral est un des grands maux de ce siècle. En effet, avec l’accentuation du rythme de notre quotidien, des pressions d’origines multiples (scolaire, professionnelle, sociétale, politique…), nous sommes pressés dans un étau qui n’a de cesse de nous ratatiner l’esprit !
La charge mentale qui conduit à l’épuisement mental n’est pas réservé qu’aux adultes. Les enfants vivant une pression extrême à l’école (harcèlement scolaire, difficultés d’apprentissage…) et/ou dans leur sphère familiale (maltraitance physique et/ou psychique, deuil, proche malade…) peuvent souffrir d’épuisement mental.
L’adulte, quant à lui, pourra être touché par un burn-out pour les mêmes raisons qu’un enfant, sauf que l’environnement professionnel fera le parallèle avec l’environnement scolaire. Le harcèlement au travail existe, tout comme les difficultés à acquérir de nouvelles connaissances à son poste de travail, se sentir dépassé par l’ampleur des tâches à accomplir ou de nouveaux outils de travail, une nouvelle organisation, des pressions statistiques, de résultats. Ajoutés aux responsabilités qu’engendrent des enfants, des charges de logement, de nourriture, de chauffage. S’ajoute parfois des problèmes de couples, de relationnel avec un ou des membres de sa famille, mais également une histoire familiale que nous avons du mal à dépasser, un schéma répétitif, un choc émotionnel non rétablit.
Tout ceci conjugué ensemble, en plus ou moins grande quantité car nous ne sommes pas tous égaux à la surcharge mentale, nous amène à nous sentir dans le brouillard, à nous sentir perdu au milieu d’un tsunami d’informations, de situations, que nous n’arrivons plus à prioriser. Mais également à ressentir une morosité, parfois de la colère, de l’incompréhension, une vision à long terme altérée, une difficulté à se projeter.
Le risque ? Nous perdre. Perdre notre confiance en nous, notre joie de vivre, notre envie de faire les choses, le sens que l’on souhaite donner à notre existence. Ce peut être le début de la déprime, voire de la dépression.
Alors si vous avez conscience de vivre une telle situation, sachez que la kinésiologie peut aider en mettant en exergue les priorités que votre corps indiquera à travailler. Il s’agit d’un travail sur soi, d’une introspection qu’il ne faut pas prendre à la légère. Il y a peut être des raisons sous-jacentes à cette épreuve que vous traversez. Comme le dit l’expression « il n’y a pas de fumée sans feu », qui ne veut pas forcément dire que l’on soit coupable de quoi que ce soit, mais plutôt que notre façon d’affronter la vie de tous les jours est emprunte de de notre passé, voir de notre passé transgénérationnel. Il est par ailleurs démontré en épigénétique, que nos gènes sont une alchimie de nos parents, de nos anciens plus lointains, mais également des environnements, des évènements qu’ils ont traversés.
Alors si vous souhaitez retrouver la sérénité, mieux vous comprendre afin de mieux vous accepter, vous débarrasser d’une histoire qui ne vous appartient pas, surpasser un traumatisme, sachez que je peux vous aider.